L’onction des malades manifeste la proximité et la consolation du Seigneur pour celui qui souffre.
Elle est signe de la force et de la douceur de Dieu.

L’onction des malades manifeste la proximité et la consolation du Seigneur pour celui qui souffre.
Elle est signe de la force et de la douceur de Dieu.
Saint Joseph fut à l’écoute du Père du Ciel, de Marie et de Jésus, de l’Esprit-Saint qui menait son œuvre. Il fut un homme de silence non par mutisme, par impuissance à parler mais pour écouter et correspondre.
Comment vivre une dévotion à Saint Joseph ? Quels fruits pouvons-nous en tirer ?
Le p. Hubert-Marie nous propose quelques clés pour grandir spirituellement avec Saint Joseph
Le pape insiste dans la lettre apostolique PATRIS CORDE sur la dimension concrète de la paternité.
Le titre ne suffit pas. Il s’agit d’une mise en œuvre qui fait qu’une paternité s’exerce, même sans le titre.
Nous ne devons pas la voir d’une manière ténébreuse et obscure. Il y a au contraire dans cette attitude de méditer sur la mort, un temps qui permet de remettre à Dieu ce qui lui revient : Toute notre Vie.
Saint Joseph est considéré comme le Patron de la bonne mort et nous le prions dans la litanie comme : Patron des mourants.
Il n’est pas facile de choisir Dieu. Effectivement, pour le choisir il faut d’abord le connaitre. Joseph avait déjà une connaissance profonde de Dieu par son éducation et les préceptes des prêtres qui l’ont amené à toujours plus aimé Dieu dans la lecture de la Thora.
Grâce, donc, au « oui » d’une femme (Marie) et au « oui » d’un homme (Joseph), Dieu réalise la Nouvelle Alliance : le fils du Très Haut, le Verbe divin revêt notre chair pour devenir, de la façon la plus sublime…
Psaume du dimanche 21 mars 2021
Crée en moi, ô mon Dieu, un cœur pur.
Dans la dixième catéchèse consacrée au « Notre Père », le pape François explique que lorsque nous disons « que ta volonté soit faite », nous ne sommes pas invités à baisser la tête comme si nous étions des esclaves. Non ! Dieu veut que nous soyons libres.